Actualité locale

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Vos conseillers municipaux prennent part à la vie locale :

·         Commémoration du 11 novembre : le 11 novembre 1918 à 11 heures, les clairons et les cloches retentissent partout, la France est libre et victorieuse après cinq longues années de combat. Comme tous les ans, vos conseillers municipaux UMP étaient présents au monument aux morts pour rendre hommage aux combattants d'Alfortville morts au front, pour que les sacrifices, les souffrances, les privations ne sombrent pas dans l'oubli. Cette cérémonie crée du lien entre les générations et à cette occasion il est important de faire de notre jeunesse l'héritière des valeurs défendus par nos combattants d'hier. Comme Hubert Falco, secrétaire d'Etat à la défense et aux anciens combattants, nous le rappelle dans son message, "Tu iras honorer le soldat inconnu", le mot d'ordre des étudiants et lycéens du 11 novembre 1940 demeure, par delà les générations, l'un des plus beaux commandements de la République".

·         "Il y a 125 ans, la naissance d'Alfortville" : le 27 novembre deux historiens, Louis Comby et Denis Lefebvre, au cours d'une conférence à la mairie nous ont rappelé comment notre ville est née en se séparant de Maisons-Alfort.

·         Distribution de tract sur l'éducation dans le cadre de la convention sur l'éducation de l'UMP

Paru dans Le Parisien du 15 décembre 2010 - Cahier du Val de Marne - page I

Dans ce lycée d’Alfortville, on travaille déjà sur Facebook

Et si le réseau Facebook pouvait aussi être un outil pédagogique? Au lycée Maximilien-Perret d’Alfortville, Françoise Cahen, professeur de lettres modernes, répond par l’affirmative. Pour amener ses élèves à explorer les œuvres littéraires d’une façon ludique, elle a appelé le réseau social no 1 à la rescousse.

« L’utilisation des réseaux sociaux est un peu tabou et souvent synonyme de sous-culture. Lorsque vous parlez de Facebook à certains enseignants, ils ont les cheveux qui se dressent sur la tête. Toutefois, c’est en train de changer », estime cette professeur, qui se dit pourtant « pas très bonne en informatique. En plus, j’ai la chance d’exercer dans un lycée très ouvert à ces différentes pratiques. Les jeunes passent tellement de temps là-dessus… » Cette année, elle a ainsi créé une application Facebook pour ses élèves de terminale se préparant au bac : le groupe « Révisez l’Odyssée d’Homère avec des phrases clés. » Lorsque l’élève s’y rend, une citation de ce classique de la littérature grecque apparaît, charge à lui de la commenter. Le travail est noté et l’élève peut d’ailleurs l’envoyer à ses « amis ».

« Les élèves créent leurs propres outils de révision mais, attention, on ne passe pas les cours sur l’ordinateur. Puis, ce n’est pas la solution miracle, même avec Facebook j’ai des élèves que ça n’intéresse pas », rigole l’enseignante. L’année dernière, pour les secondes, elle avait déjà utilisé Facebook pour aider à comprendre Maupassant, et en particulier son roman « Bel Ami ». Des quiz interactifs avaient ainsi été réalisés pour mieux s’approprier les caractéristiques des six personnages principaux et répondaient à la question « Quel personnage de Bel Ami es-tu? ». Si l’utilisation de Facebook n’avait été qu’une des facettes du travail fourni sur le roman, il a permis de « dépoussiérer » son étude et a offert à Maupassant une entrée dans ce réseau très populaire auprès des jeunes. Toutefois, l’emploi des nouvelles technologies au lycée ne s’arrête pas à Facebook pour Françoise Cahen. Un site interlycées et des blogs à vocation pédagogique viennent aussi élargir cet éventail.

Christine MATEUS

Paru dans Le Parisien du 02 décembre 2010

Des milliers de mètres carrés de bureaux disponibles

Le Val-de-Marne se mue en agence immobilière. Depuis hier et jusqu’à demain, le département participe au plus important salon immobilier d’entreprise de France, le Simi. Porte Maillot à Paris (XVIIe), il reçoit environ 20000 visiteurs pour 400 exposants. Le Val-de-Marne propose notamment la première tranche de 65000 m2 du projet immobilier Cœur d’Orly, prévu en bordure de l’aéroport.

Autres immeubles, celui de Montréal (15000 m2) dans la zone Silic de Rungis, le W de Choisy (une première tranche de 15000 m2), le Petra d’Ivry (14000 m2), l’Equalia d’Alfortville (15000 m2) ou encore le Huit Douze sur Parc de Maisons-Alfort (12000 m2). « Pour être sûr d’attirer les entreprises, tout le monde se mobilise. Les élus de droite comme ceux de gauche du département viennent au salon », assure Joël Gayssot, directeur de l’agence de développement du Val-de-Marne. Et pour achever de convaincre les sociétés, l’agence de développement mise sur le sondage publié récemment par Ipsos*. Celui-ci indique que le Val-de-Marne est considéré par la majorité des chefs d’entreprise comme le territoire le plus attractif d’Île-de-France.

*Enquête menée du 14 octobre au 4 novembre 2010 auprès de 201 chefs d’entreprise et décideurs.

Paru dans Le Parisien – Vendredi 26 novembre 2010 – Cahier du Val-de-Marne – Page IV

Les travaux pour la piste cyclable ont commencé A Alfortville, des travaux ont démarré, pour une durée prévisionnelle de trois mois, sur le quai de la Révolution, entre la rue des Alouettes et la limite de Choisy Réalisés par le conseil général, ils consistent à créer une piste cyclable sécurisée dans les deux sens de circulation afin de promouvoir la pratique du vélo dans le département. Au préalable, des travaux préparatoires seront effectués jusqu’à la fin de l’année : démolition des îlots existants, rénovation du revêtement de la chaussée… Les travaux de création de la piste cyclable seront effectués au cours des mois de janvier et de février. Ils comprennent notamment la pose d’une bordure afin de créer une piste cyclable séparée des voies de circulation. Financé par le département, avec une subvention de la région, le montant de ces travaux s’élève à 700000 €. C.M..

Paru dans Le Parisien – Samedi 27 novembre 2010 – Cahier du Val-de-Marne – Page II

Elle tire sur son voisin au Bar des Amis Au Bar des Amis, Jeannot était connu pour son bagout et ses coups de gueule. Mais hier, nul ne comprenait vraiment pourquoi ce solide gaillard aux yeux bleus de 43 ans, bien connu dans le bistrot où il avait ses habitudes, a été visé à la tête à bout portant par une femme alors qu’il réglait ses consommations. Blessé grièvement, il a été immédiatement transporté à l’hôpital Henri-Mondor où il a été opéré. Mais hier soir, ses jours étaient toujours en danger. L’émotion était encore palpable hier matin dans ce bar à la devanture rétro situé dans le quartier de la gare à Alfortville. « C’est la première fois qu’on voit ça ici, s’étonne encore Francine, la femme du gérant. C’est un quartier plutôt tranquille et il arrive que les gens s’échauffent mais jamais ça n’en vient aux mains. Hier, c’était pourtant la Journée de la femme, contre les violences conjugales », note-t-elle. Assis au bar, Patrick a assisté à la scène de la veille dans sa quasi-totalité et il est encore très choqué. « Quand je suis arrivé, sur les coups de 17 heures, Jean-François était en pleine conversation avec cette femme et ils étaient tous les deux déjà très énervés », se souvient-il. La femme, âgée d’une quarantaine d’années elle aussi, venait de temps en temps au Bar des Amis. Assez grande, plutôt corpulente, elle jouait au billard, buvait du vin blanc et parfois, son ami, un ancien policier, s’asseyait aussi pour une partie de tarot. De son côté, Jean-François, bien connu du commissariat d’Alfortville pour des problèmes de voisinage passait souvent ses après-midi dans ce bar. « Il s’immisçait dans les conversations et ça en agaçait plus d’un, reconnaît Francine. Quand il buvait, il était méchant. » Alors ce soir-là, « il a sans doute dû dire des choses désagréables à cette femme », glisse Patrick. Entre les deux clients, le ton monte, la dispute n’en finit pas et vire au drame. « La femme le traitait de tous les noms et il n’arrêtait pas de dire : Excuse-moi, excuse-moi. Il ne savait plus où se mettre », rapporte Patrick. Deux fois, le propriétaire du bar tente de les mettre dehors. Sans succès. C’est alors que la femme s’absente une dizaine de minutes. Lorsqu’elle revient, elle se plante devant Jean-François, sort une arme de petit calibre de son sac et vise sa victime au-dessus de l’œil gauche, avant de prendre la fuite. Entendu longuement par la police, le serveur présent au moment des faits a été placé en garde à vue quelques heures hier avant d’être relâché. La SDPJ 94 a été saisie de l’enquête Bérengère Lepetit

Paru dans Le Parisien – Vendredi 26 novembre 2010 – Cahier du Val-de-Marne – Page II

Coup de feu dans un bar : un blessé Hier, vers 18 heures, alors qu’il se trouvait dans un bar d’Alfortville, un homme âgé d’une quarantaine d’années a été victime d’un coup de feu qui l’a blessé à la tête. D’après les premiers éléments de l’enquête, l’arme serait un pistolet d’alarme ou à grenaille. L’individu était à l’intérieur d’un bar situé rue Vaillant-Couturier, à l’angle de l’avenue du Général- Leclerc, lorsqu’un homme a tiré sur lui. Probablement un différend qui aurait mal tourné. L’auteur du coup de feu n’a pas été interpellé et le pronostic vital de la victime n’était pas connu hier soir. L’enquête a été confiée au service départemental de la police judiciaire.