Politique nationale


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LE BILAN DE 4 ANS D'ACTION DE NICOLAS SARKOZY

L'Élysée a publié un document très intéressant : "4 ans d'action : mai 2007-mai 2011". Nous vous invitons a le consulter :

Vous y retrouverez les grands thèmes qui nous sont à tous chers :
  • Protéger les français
  • Bâtir une France plus juste
  • Construire une France moderne
  • Préparer l'avenir
  • Faire respecter la voix de la France

    « L’ÉGALITÉ RÉELLE », La nouvelle supercherie du PS

    Production de l’UMP pour répondre aux conclusions de la convention du Parti Socialiste sur « L’égalité réelle » qui s’est déroulée le 11 décembre dernier.

    Ces éléments mettent en évidence la démagogie du projet socialiste et vous aideront à dénoncer ses mensonges sur le terrain. C’est tous ensemble que nous devons soutenir l’action de Nicolas SARKOZY et du Gouvernement.
    1. Avec son projet sur « l’égalité réelle », le PS de Martine Aubry et Benoît Hamon montre son vrai visage, celui d’un parti gauchiste et archaïque !
    On attendait depuis longtemps les propositions du PS, on en a pour nos impôts, mais il faut reconnaître que la collection 2010 ressemble beaucoup à celles des années précédentes : dans l’esprit c’est 1936, avec le retour en force des promesses les plus folles et dans la méthode c’est 1981 avec les 110 propositions !
    Tous les classiques du vieux socialisme y sont : les vœux pieux, les promesses non financées, les dépenses publiques nouvelles, les hausses d’impôts, les contraintes sur les collectivités et les entreprises… Et surtout aucun chiffrage en 40 pages !
    -  Une succession désordonnée de vœux pieux, de promesses intenables et de nouvelles allocations, sans financement et sans propositions concrètes :
    Des vœux pieux : diviser par 2 les écarts de salaires hommes femmes, tripler le nombre d’enfants accueillis dans les structures collectives (crèches…), créer un statut social pour les jeunes, réduire de 2/3 le nombre de sans-abris (pourquoi seulement 2/3, d’ailleurs ?), faire en sorte que plus personne ne soit contraint de consacrer plus de 25% de son budget à son logement, instaurer un prix très bas pour la consommation d’eau, plafonner à 1 euro le coût de chaque trajet logement/travail…
    Une pluie de nouvelles allocations : une aide au départ en vacances de 200 euros minimum pour les mineurs qui ne partent jamais, une allocation d’autonomie pour les étudiants, une aide à la recherche du premier emploi,
    -  Une avalanche de nouveaux impôts : majorer les cotisations patronales pour les temps partiels, rétablir les droits de succession à leur niveau antérieur à 2007, élargir la base de la fiscalité du patrimoine, créer un nouvel impôt local pour remplacer la TP…
    -  Des contraintes qui risquent d’étouffer les collectivités, l’économie et l’initiative individuelle : une loi SRU sur les crèches, un durcissement de la loi SRU sur les logements sociaux (passage à un seuil de 25%), suppression des grandes écoles, entraves à la libre installation des médecins généralistes, une pluie de pénalités contre les entreprises, les partis politiques, les collectivités…
    Bref, quand on fait la somme de tout cela, on a un projet totalement démagogique et complètement irréaliste !
    Totalement démagogique : le PS surfe sur la crise et les difficultés des Français en leur faisant miroiter des solutions miracles à coup de nouvelles allocations !
    Nous devons avoir le courage de dire la vérité aux Français, de leur expliquer que l’assistanat ne peut pas être une solution durable, que la première cellule de solidarité, c’est la famille, que la clé de l’autonomie, c’est le travail…
    Parce que nous ne devons pas laisser les Socialistes tromper les Français avec leurs jolis mensonges !
    Qui peut être contre une aide aux enfants défavorisés ? Personne, simplement, la seule chose qui manque, c’est comment on fait et combien ça coûte ! Notre famille doit avoir le courage d’expliquer aux Français que les solutions du PS ne sont ni financées, ni réalistes et donc pas crédibles !
    Totalement irréaliste : le projet du PS n’est absolument pas financé ! Alors, comme ils ne l’ont pas chiffré, on a commencé à le faire pour eux !
    Quelques exemples :
    -       200 € pour permettre à 3 millions de mineurs de partir en vacances = 600 M€/an ;
    -       le plafonnement à 1 € du trajet domicile/travail pour 15 millions de personnes = 2 milliards €/an ;
    -       le « droit universel à la dépendance » assis sur la solidarité nationale = 30 milliards€ en 2030 ;
    Il faudra maintenant que le PS nous explique où il trouve l’argent ! Le PS oublie trop souvent qu’avant de partager la richesse, il faut la créer !
    2. Finalement, la seule chose qui unit encore un PS déchiré par les ambitions personnelles, c’est la haine irraisonnée et viscérale de Nicolas Sarkozy
    Ils avaient tenté de nous faire croire à leur unité retrouvée lors de leurs universités d’été, mais nous avons bien vu que dès qu’ils rentrent dans les propositions concrètes, ils ne sont d’accord sur rien !
    Et les déchirements auxquels nous avons assisté proviennent uniquement du fait que le PS français n’a toujours pas fait son aggiornamento, les socialistes n’ont pas crevé leurs abcès idéologiques.
    Du coup, les divisions apparaissent au grand jour dès qu’ils tentent de dépasser leur seul rejet du Président :
    -  d’un côté, les modernes qui rêvent d’un parti socialiste réformiste, responsable et crédible, à l’image de ce qui existe en Allemagne, en Espagne, en Grande-Bretagne…
    -  de l’autre, les archéos, avec Benoît Hamon en digne successeur d’Henri Emmanuelli, qui appelle à cogérer le pays avec les syndicats, à multiplier les dépenses… Ceux-là ne se comparent qu’à Besancenot et maintenant Mélenchon… et comparent la France à celle de 1981 voire même de 1936…
    3. Et finalement ce projet sur « l’égalité réelle » porté par le tandem Hamon-Aubry, ce sont encore les socialistes qui en ont le mieux parlé !
    N’oublions pas les mots qu’ils ont eus : « totalement irréaliste », « pas raisonnable de signer un chèque en blanc », « calendrier irréaliste », « ambiguïté », « manque de clarté et de crédibilité », « hotte du père Noël », « catalogue sans chiffrage ni hiérarchie», « mélenchonisation des esprits »…
    Dans le détail et en live :
    -       Pour François Rebsamen, « il va falloir, pour être un parti de gouvernement, un parti crédible aux yeux des Français, hiérarchiser nos priorités, ce que le texte ne fait pas. Les propositions sont là, mais il faut les ordonner »
    -       Pour Manuel Valls, « il manque le chiffrage, il manque la base essentielle ». « La volonté des Français de se révolter contre le président de la République ne peut trouver une réponse que si la gauche, si les socialistes présentent un projet crédible qui corresponde réellement à l'état économique et financier du pays ». « On fait l’inverse de ce qu’il fallait faire ».
    Résultat : comme une partie du PS, les Français pensent que l’opposition n’est pas crédible ! Selon le dernier sondage IFOP pour Paris Match, ils sont 62% à penser que l’opposition ne ferait pas mieux que la majorité si elle était au pouvoir…
    Nous devons maintenant nous mettre en ordre de bataille pour expliquer aux Français la réalité du projet du PS, pour les convaincre que l’assistanat ne peut pas être une solution durable, que la première cellule de solidarité, c’est la famille, que la clé de l’autonomie, c’est le travail…


    Conseil national de l'UMP le 11 décembre : la mise en ordre de bataille pour la présidentielle de 2012 sous la férule de Jean-François Copé

    Le conseil national, parlement de L’UMP, a eu lieu le 11 décembre à la Porte de Versailles, conseil qui a permis de réunir tous les ténors de l’UMP et qui a été le point de départ de l’intronisation active de Jean-François Copé en tant que préparateur en chef de la campagne de 2012 pour laquelle tous les militants souhaitent que Nicolas Sarkozy se représente.
    L’image de la Porte de Versailles est le point de départ de notre mobilisation pour la réélection de Nicolas Sarkozy. C’est une page qui se tourne à l’UMP qui était un peu en somnolence. Avec Jean-François Copé c’est de l’énergie à 100% et de l’intelligence en plus.
    Merci Monsieur Copé, merci à notre secrétaire général et merci a sa capacité imaginative qui nous change de ces dernières années avant l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007. L’UMP est en ordre de bataille et il faut encore saluer la méthode et la stratégie de Jean-François Copé.
    Paru dans Le Parisien – Samedi 11 décembre 2010 – Page 5

    Copé veut de la sobriété à l’UMP
    Le député et maire de Meaux préside aujourd’hui son premier conseil national de l’UMP. Bien décidé à ce que personne ne lui fasse de l’ombre.
    L’heure du sacre officiel a sonné pour Jean-François Copé. Un mois après avoir pris les commandes de l’UMP, le député et maire de Meaux (Seine-et-Marne) réunit aujourd’hui son conseil national pour la première fois. L’événement a lieu à Paris, porte de Versailles. Et pour les 1300 membres qui le composent, il va être l’occasion de découvrir cette « UMP nouvelle formule » promise par leur nouveau patron.
    Rigueur budgétaire
    « Ce conseil national va être sobre, c’est le mot d’ordre! » promet Jean-François Copé. « A un an et demi de la présidentielle, il faut faire des réserves. Ce n’est plus le moment de gaspiller de l’argent », martèle-t-il sans cesse, sans jamais manquer d’étriller son prédécesseur, Xavier Bertrand. Il n’empêche, selon nos informations, le secrétaire général de l’UMP a tout de même prévu de faire venir par bus plusieurs dizaines de militants-supporteurs de Seine-et-Marne, son département, pour mettre de l’ambiance porte de Versailles…
    Xavier Bertrand privé de tribune
    Sans aucun doute, les relations entre Copé et Bertrand restent tendues. Pour preuve, aucun passage de témoin, même symbolique, n’est prévu aujourd’hui entre les deux hommes. Cette semaine, Xavier Bertrand lui a pourtant fait parvenir un courrier pour savoir s’il pourrait s’exprimer à la tribune, devant les membres du conseil national. « Rien n’est prévu en ce sens, répond sèchement un collaborateur de Jean-François Copé. On a déjà assez de personnes à faire parler pendant la journée… »
    Des ministres gérés « au cas par cas »
    Pas question pour le nouveau chef du parti de diriger aux côtés de ministres qui pourraient lui faire de l’ombre. Comme il l’avait annoncé, il va donc mettre fin au système qui prévalait jusqu’à présent : la présence de membres du gouvernement aux postes clés du parti (à l’exception d’Hortefeux). « Copé veut des gens qui bossent et les ministres ont, par définition, moins de temps », explique Hervé Novelli, secrétaire général adjoint… et ancien secrétaire d’État au Commerce. Concrètement, « on verra au cas par cas », répond le patron de l’UMP qui, de toute façon, ne dévoilera le nouvel organigramme du parti qu’au mois de janvier.
    « Promis, je ne bougerai pas d’une oreille »
    Ce matin, seuls les noms des vice-présidents du conseil national (Jean-Pierre Raffarin et Brice Hortefeux) et des membres du bureau politique seront officialisés. Parmi ces derniers, quelques entrées remarquées, comme les anciens ministres Rama Yade et Christian Estrosi. Quant à François Fillon, membre de droit en tant que Premier ministre, il clôturera la journée par une allocution au cours de laquelle il surveillera sûrement de près l’attitude de Copé. Le 24 novembre dernier, à l’occasion de son discours de politique générale à l’Assemblée, ce dernier n’avait-il pas cessé de parapher des documents et de bavarder avec sa voisine pour signifier son peu d’enthousiasme à l’écouter? « Cette fois-ci, promis, je ne bougerai pas d’une oreille », a juré Copé hier, en petit comité.


    Une réforme novatrice concernant nos collectivités territoriales au nom de la bonne gouvernance locale



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    Composition du nouveau gouvernement

    Communiqué de la présidence de la République
    Sur la proposition du Premier ministre, le Président de la République a nommé :

    M. Alain Juppé, ministre d’État, ministre de la défense et des anciens combattants ;
    Mme Michèle Alliot-Marie, ministre d’État, ministre des affaires étrangères et européennes ;
    Mme Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement ;
    M. Michel Mercier, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés;
    M. Brice Hortefeux, ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration ;
    Mme Christine Lagarde, ministre de l’économie, des finances et de l’industrie ;
    M. Xavier Bertrand, ministre du travail, de l’emploi et de la santé ;
    M. Luc Chatel, ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative ;
    M. François Baroin, ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’État, porte-parole du Gouvernement ;
    Mme Valérie Pécresse, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche ;
    M. Bruno Le Maire, ministre de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche, de la ruralité et de l’aménagement du territoire ;
    M. Frédéric Mitterrand, ministre de la culture et de la communication ;
    Mme Roselyne Bachelot-Narquin, ministre des solidarités et de la cohésion sociale ;
    M. Maurice Leroy, ministre de la ville ;
    Mme Chantal Jouanno, ministre des sports ;
    M. Patrick Ollier, ministre auprès du Premier ministre, chargé des relations avec le Parlement ;
    M. Éric Besson, ministre auprès de la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, chargé de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique ;
    M. Henri de Raincourt, ministre auprès de la ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé de la coopération ;
    M. Philippe Richert, ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargé des collectivités territoriales ;
    M. Laurent Wauquiez, ministre auprès de la ministre d’Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, chargé des affaires européennes ;
    Mme Nadine Morano, ministre auprès du ministre du travail, de l’emploi et de la santé, chargée de l’apprentissage et de la formation professionnelle.
    Mme Marie-Luce Penchard, ministre auprès du ministre de l’intérieur, de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration, chargée de l’outre-mer ;
    M. Pierre Lellouche, secrétaire d’État auprès de la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, chargé du commerce extérieur ;
    Mme Nora Berra, secrétaire d’Etat auprès du ministre du travail, de l’emploi et de la santé, chargée de la santé ;
    M. Benoist Apparu, secrétaire d’État auprès de la ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé du logement ;
    M. Georges Tron, secrétaire d’État auprès du ministre du budget, des comptes publics, de la fonction publique et de la réforme de l’État, chargé de la fonction publique ;
    Mme Marie-Anne Montchamp, secrétaire d’État auprès de la ministre des solidarités et de la cohésion sociale ;
    M. Thierry Mariani, secrétaire d’État auprès de la ministre de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement, chargé des transports ;
    M. Frédéric Lefèbvre, secrétaire d’État auprès de la ministre de l’économie, des finances et de l’industrie, chargé du commerce, de l’artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation ;
    Mme Jeannette Bougrab, secrétaire d’État auprès du ministre de l’éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, chargée de la jeunesse et de la vie associative.
    Le Président de la République réunira le conseil des ministres, avec l’ensemble des membres du Gouvernement, ce mercredi 17 novembre 2010, à 10 heures.


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    Retraites : une réforme essentielle pour préparer l'avenir

    Depuis 1950, nous avons gagné quinze années d'espérance de vie. La crise a amputé les régimes de retraite d'une partie de leurs recettes, accélérant la dégradation des comptes. Les déficits ont une dizaine d'année d'"avance". La réforme que le Président de la République mène est nécessaire. Ensemble nous devons la porter.

    1.    Relever l’âge de départ
    Le report de l’âge légal à 62 ans pour 2018 en l’augmentant chaque année de 4 mois à compter du 1er juillet 2011. La première génération concernée est celle née après le 1er juillet 1951.
    L’âge sans décote sera relevé progressivement de 65 à 67 ans de 2016 à 2023.
    En même temps, la durée de cotisation continuera de progresser en fonction de l’allongement de l’espérance de vie.

     2.    Plus de justice sociale
    La prise en compte de la pénibilité, et c’est une première en Europe : les personnes dont l'état de santé a été dégradé du fait de leurs conditions de travail (ceux qui ont subi une incapacité égale ou supérieure à 10%) pourront partir à la retraite à 60 ans avec une retraite à taux plein quel que soit le nombre de trimestres cotisés.
    Le dispositif « carrières longues », créé en 2003, sera étendu à tous ceux qui ont commencé à travailler avant 18 ans et qui pourront donc partir à la retraite à 60 ans ou avant.
    100 000 personnes seront concernées par le départ anticipé en 2015, soit 1 retraité sur 7 prenant sa retraite cette année-là.
    Les travailleurs handicapés ainsi que les parents d'enfants lourdement handicapés et les aidants familiaux pourront continuer à partir à 65 ans sans décote.

    3.    Améliorer l’emploi des seniors
    L’augmentation de l’âge légal permettra d’améliorer le taux d’emploi des seniors.
    Création d’une aide à l’embauche d’un an pour les entreprises qui recrutent des chômeurs de plus e 55 ans et incitation au développement du tutorat.

    4.    Public/privé : plus d’équité
    Le régime des fonctionnaires se rapprochera de celui du privé :
    •  Les fonctionnaires ne sont pas épargnés par le report de l'âge légal de départ,
    •  Les salariés des régimes spéciaux ne seront concernés par la réforme qu'à partir du   1er janvier 2017,
    • Le taux de cotisation retraite, actuellement de 7,85%, sera progressivement relevé à 10,55%, comme dans le privé,
    •  Le dispositif permettant aux fonctionnaires mères de 3 enfants ou plus de prendre leur retraite après 15 ans de cotisation sera supprimé à partir de 2012. Seuls les parent ayant déjà trois enfants et 15 ans de service au 1er janvier 2012 pourront encore bénéficier de ce dispositif qui concerne en majorité les femmes.

     5.    Davantage de solidarité
    Il n’y aura plus aucune remise en cause des mécanismes de solidarité, qui seront même renforcés pour mieux prendre en compte certaines situations.
    Pour améliorer la retraite des femmes, les indemnités journalières perçues pendant le congé de maternité seront désormais prises en compte.
    Les jeunes en situation précaire bénéficieront maintenant de 6 trimestres validés lorsqu’ils sont au chômage non indemnisé, contre 4 aujourd’hui.
    Le gouvernement s’engage à améliorer les conditions des « poly-pensionnés ».

    6.    Mieux informer pour mieux choisir
    Un document d’information sur le système de retraite sera transmis à tous les nouveaux assurés lorsqu’ils valident leur 1er trimestre.
    Un « point d’étape individuel retraite » sera mis en place à 45 ans pour faciliter très tôt les bons choix en matière de retraite.
    Un relevé de carrière sera disponible en ligne.

     7.    Assurer le financement
    Les entreprises d'au moins 50 salariés devront signer un accord ou un plan destiné à résorber les écarts salariaux hommes-femmes
    En 2013, lancement d'une étude sur une retraite par points
    De nouvelles recettes viendront financer nos retraites :
    • Nouveau prélèvement de 1 % sur la dernière tranche d’impôt sur le revenu et les plus values de cessions,
    • Hausse des prélèvements sur les stock-options et les retraites chapeaux,
    • Calcul annualisé des allègements de charges patronales.

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